Au pic de ma forme
Il y a un sujet que je n'ai pas abordé dans mon blog et que, jusqu'à maintenant je me suis refusé d'aborder : c'est la nutrition.
Pourtant l'ensemble des ouvrages traitant de la course de fonds, sous forme classique ou sous forme ultra, y accordent de l'importance, soulignant qu'il est inutile de développer et régler le moteur (le corps) aux petits oignons si le carburant (la nourriture) qu'on lui fournit est inadapté.
L'image et l'argument me paraissent convaincants mais je me refuse à me pencher sur la question ; je souhaite que la course à pied reste un loisir, certes chronophage, mais pas qu'elle devienne un mode de vie.
Néanmoins, les excès du week end pascal (et le souhait de les renouveler) et la nécessité d'alimenter les discussions familiales m'amènent à infléchir au moins partiellement ma position en m'intéressant de près à l'alimentation de récupération, après l'effort.
Une semaine après l'ultra trail de Côte d'Or (www.ultratrail21.com), ce sera chez Pic, à Valence. Reste à déterminer qui paiera : le DNF (Did Not Finish) ou, dans le cas où je franchirais la ligne d'arrivée dans les délais prescrits par l'organisation, les DNS (Did Not Start) en la personne de Arthur, qui a ainsi trouvé un moyen qui lui convient de s' associer à l'effort, et Six Clopes qui, bien que marathonien n'envisage pas de continuer à progresser.
WTF, pour sa part, n'a toujours pas digéré l'addition du restaurant du à l'issue du Marathon ; il n'a donc pas souhaité voir l'histoire lui repasser un plat jugé trop salé et s' est abstenu de participer au pari.
A suivre ...
